A reason to strat over new... And the reason is you... [PV Kum']

**Miyavi Kinoshita** Lun 15 Fév - 2:20

La notion de temps n’avait plus aucun sens pour lui. Celle de repères non plus. Il ne savait pas depuis combien de temps il était dans cette forêt, ni où il se trouvait. Il avait cette désagréable sensation de tourner en rond, l’impression que le jour et la nuit n’existaient plus, qu’il y avait seulement le temps où il était réveillé et celui où il dormait. Il pouvait dormir toute la journée et s’activer la journée en pensant qu’il faisait jour tout comme il pouvait dormir la nuit et rester en place le jour en croyant qu’il faisait nuit et qu’il ne devait pas bouger de place pour n’attirer aucun danger dans ce silence. Mais tout était toujours silencieux. Les seuls bruits troublants le calme permanant étaient le bruit de la rivière à une centaine de mètres de là, le chant des oiseaux la journée, celui des hiboux la nuit, et les bruits des petits animaux vivants tout autour de lui. Pour tout dire, les seuls repères qu’ils lui restaient sur le jour et la nuit étaient que la journée le son qui provenaient de ces créatures volantes qu’il entendait s’éloigner dès qu’il approchait étaient plus mélodieux la journée, et faisaient presque froid dans le dos la nuit, mais ces chants n’étaient pas permanents et il se perdait. Et puis, après tout, pourquoi s’en soucier ? Il était libre à présent, il n’avait de comptes à ne rendre à personne et aucune obligation à respecter, il faisait ce qu’il voulait. Malgré le fait qu’il soit totalement perdu, cette vie lui plaisait bien. Pouvoir se tremper dans l’eau fraiche dès qu’il le souhaite, manger ce qu’il peut trouver quand il veut, explorer le monde qu’il n’avait jamais pu découvrir, quoi de mieux ? Il lui semblait que sa vie n’avait jamais été aussi heureuse, et il avait totalement raison. Ce qu’il vivait en ce moment était le bonheur à l’état pur comparé aux barreaux et aux tables armées de sangles des scientifiques du laboratoire.

Se levant et s’étirant après être resté assis plusieurs heures à la même place en attendant le sommeil après avoir compris, au chant de la créature qui produisait un bruit assez effrayant, qu’il faisait nuit et qu’il serait temps de dormir même s’il ne s’était réveillé que peu de temps avant. La plupart du temps où il dormait, il s’allongeait sur une grosse branche et laissait place totalement à ses gênes de chat. Il s’endormait en félin, dormait en félin, se réveillait en félin et redevenait un hybride une fois réveillé. Tout ça pour seulement une question de facilité. Il risquait moins de tomber de la branche d’un arbre en tant que ça que dans un corps, car un chat prenait moins de place, de plus c’était extrêmement plus confortable de pouvoir se rouler dans un tat de vêtement, même en cuir, que de s’allonger à même le bois en gardant ses vêtements pour ne pas se retrouver nu.

Finalement, il se décida à aller se promener un petit peu, sa crainte de la nuit, accompagnée de tous ces bruits étranges à vous faire froid dans le dos, ses bruits de pas proches de vous à l’odeur de sang, sans doute un de ses chiens sauvages hurlant la nuit et se promenant en groupe qui ramenait de quoi manger à sa famille, ses respirations saccadées de grognements réclamants votre départ immédiat du territoire qui appartenait au propriétaire du grognement. Non, tout ça était passé, les grognements avaient cessés sur son passage, comme s’il avait été accepté dans la forêt, ça devait sans doute être le cas. Chose aussi étonnante, il arrivait à présent à marcher dans la forêt sans se prendre les pieds dans les branches comme il le faisait au début. La nuit de sa fugue avait été horrible, il s’était retrouvé en sang après être tombé un nombre incalculable de fois en se prenant les pieds dans les racines des arbres, rentrants dans des buissons, voir même quelques rares fois des arbres, se cognant la tête dans les branches basses. Il lui avait fallut une bonne semaine pour que ces plaies se referment, après l’avoir nourri de son propre sang. Il avait appris à sentir ce qu’il y avait autour de lui et donc ç éviter les quelconques obstacles pouvant se présenter devant, même si, bien sûr, il tombait encore quelques fois. Sa route pris la direction de la rivière, sa soif l’ayant emportée sur son envie de continuer d’explorer ce monde, et d’approcher ses petits animaux qu’il n’avait eu le temps de toucher qu’une seul fois. Au toucher, il avait sentit que c’était petit et fragile, avec une queue relevée couverte de poils ébouriffés. Il n’avait pas eu le temps d’en apprendre plus que la bestiole c’était faite la malle en haut d’un arbre dans un couinement. Depuis, il ne rêve que d’une chose : sympathiser avec ces petits animaux craintifs et pouvoir jouer avec eux.

La rivière devant lui, il n’hésita pas une seconde et enleva son t-shirt et son pantalon, gardant tout de même son boxer, et plongea dedans la tête la première. Il avait réussis à apprendre comment nager depuis qu’il était dehors, et il ne se lassait pas de pouvoir laisser son corps aller dans cette substance mouvante qu’était l’eau. Pourtant, il n’y resta pas longtemps, juste quelques minutes le temps de s’amuser, une autre pour boire, et une bonne dizaine de minutes pour se laver. Il en ressortit tout aussi rapidement qu’il en était rentré. Il avait beau adorer l’eau et ne pas être frileux, aller dans l’eau en pleine nuit d’hiver n’était pas forcément la chose la plus recommandée. Ses vêtements sur le dos, il partit à la recherche de ces petites bêtes douces dans l’espoir de pouvoir les approcher.

Beaucoup, beaucoup plus loin. Comme dit plus haut, il arrive à présent à peu près à se déplacer correctement, mais un accident est si vite arrivé… Son pied butta dans une racine d’arbre qu’il n’avait pas sentit, et il se sentit partir en avant. Heureusement qu’un chat retombe toujours sur ses pattes… Ou presque. Il loupa sa main et retomba sur son poignet. La douleur le fit gémir assez fortement, il était certain qu’on l’avait entendu à 300 mètres à la ronde. Bien sûr, il avait fallu qu’il tombe dans une flaque de boue, juste après s’être lavé. Il soupira et tenta de se relever, prenant appui sur ses deux mains. Peine perdue, cette tentative eu pour seul effet de le faire gémir une nouvelle fois. Tenant quand même à se relever, il s’aida de sa main gauche, celle qui n’avait pas été touchée, et prit appuis sur l’arbre qui était la cause de son malheur. Il se sentait sal, la boue coulait depuis son épaule et sa hanche jusqu’à son genoux. Soupirant, il décida de retourner à la rivière pour se laver. A peine fit-il un pas que son pied rebuta dans la racine, mais il réussit à se rattraper au tronc, évitant une nouvelle chute. Continuant sa route, il se rendit compte que deux ou trois minutes plus tard qu’il boitait. Il devait avoir l’air fin tient, couvert de boue sur tout son côté gauche, boitant, courbé et le poignet tenu par sa main gauche pour ne pas le faire bouger. Se mordant la lèvre en cherchant quoi faire, une nouvelle odeur rajouta encore une chose à son problème. Il ne connaissait pas cette odeur, mais elle n’avait pas l’air d’être celle d’un animal de cette forêt. Soupirant, il laissa tomber. Au sens propre comme figuré. Il s’appuya contre le tronc du premier arbre qui vint à lui, se laissa glisser le long du tronc, et attendit. Peut-être était-on venu le ramener au laboratoire, mais ça l’étonnerait, l’odeur était celle d’aucun des scientifiques. Peut-être un animal qu’il n’avait pas croisé ? Ou encore un humain en promenade, il n’en savait rien, à présent la seule chose qu’il s’avait était qu’il ne bougerait pas de là pendant un bon bout de temps.

**Kumara Kyuusei** Lun 15 Fév - 12:35

Il fessait nuit Kumara avait était réveiller par les bruits de la nuit mais surtout pas un cris strident que quelqu'un ou quelque chose qu'il ne reconnaissait pas. De plus la personne qui avait du lâcher se cri ne
devait pas se trouver loin d'ici. C'était peut être un de ces espions de mura no shi, ou un seme no shi égarer dans tous les cas Kumara ne voulait pas qu'ont approche de sa maison, son endroit secret devait le rester.

Un deuxième cri retentit peu après le premier, il était maintenant sur que c'était un humain ou un fauve. Il avait a peu prés localiser d'où venait le cri, il devait se trouver près de la rivière mais cela rester approximatif. Kumara récupéra son manteau des bottes et son épée, et partit dans la dense forêt.

Il n'avait pas l'habitude de la parcourir la nuit mais il lui rester quelques repères bien qu'il fasse sombre, Kumara y voyer comme s'il fessait jour. Il avançait dans cette épais brouillards de feuilles et de branches. Il atteignit vite la rivière, s'y pencha pour voir quelque gorgées d'eau glacées. Maintenant plus aucun cri se fessait entendre et Kumara ne savait plus où chercher, lorsqu'il aperçu des traces de pas dans la terre. Elles étaient encore humides et elles s'enfonçaient encore un peu plus loin dans la forêt.

Kumara avançait toujours en suivant ces traces elles lui semblait assez bizarres elles aller tout droit et éviter les arbres à quelques centimètres du tronc, au lion de couper directement entre deux arbres. Plus il s'enfonçait dans la forêt et plus les traces s'arrêter devant une flaque de boue, Kumara observa autour de cette flaque et aperçu une racine, la personne qu'il suivait avait du trébucher sur cette racine et tombé dans cette flaque vu les éclaboussures qui étaient sur les arbres au alentour. mais il n'y avait plus de traces allant de ce côté. Kumara aller rebrousser chemin lorsqu'il aperçu des traces de boues sur l'arbre comme si cette personne avait anouveau trébuché. Kumara fit le tour de l'arbre et aperçu un homme avachit dans le creux d'un arbre a proximité de celui où il se trouvait.

Cet homme avait les cheveux cours et blanc, il était habiller de cuir et était recouvert de cicatrices, sa respiration était saccadée il avait l'air de souffrir. Kumara n'avait jamais vu cet personne que se soit dans son village ou encore à mura no shi quand il y vivait encore. C'est alors qu'il aperçu des oreilles de chat sur le haut de la tête de cet personne, c'était un hybride.

Kumara en avait déjà vu mais enfermer dans des cages ou encore dans des cuves lors de sortit scolaire. Il n'avait jamais aimé c'est sortit pendant que les autres élèves s'extasié devant les 'scientifiques' qui leurs comptaient leur histoire débile de comment ils avaient créés des hybrides et en vantant leurs exploits de charcutier, Kumara lui regardé des garçons comme lui qui avait subit de multiples blessures, la seul différence qu'il voyait entre lui et eux c'est que lui n'avait pas d'oreilles… il regarder un de ces 'neko' il lui ressembler lui aussi avait les cheveux blancs, Kumara c'était approcher de sa cage tendant sa main pour essayer de voir son vissage car il était de dos, Kumara toucha sa chevelure blanche et le neko se retourna vers lui, Kumara souri, caressa ses cheveux, lorsqu'un scientifique le repoussa et lui interdit de le toucher et le remmena au près du groupe près de la maîtresse qui le retient pendant la durée de toute la visite.

Kumara se rapprocha de l'hybride. Mais celui ci n'avait pas l'air rassurer de sa présence. Kumara se demander s'il était celui qu'il avait rencontrait ce jour là. Il avait encore plus de blessures que lorsqu'il l'avait vu il y a si longtemps s'il était bien le même. Kumara se rapprocha doucement de lui ne voulant pas l'effrayer. Kumara ne savait pas s'il savait parler ou encore moins s'il le comprendrait s'il lui parler il décida de rester silencieux pour le moment. Il lui toucha les cheveux comme il l'avait fait sur ce neko lors de la visite.… Ses cheveux étaient doux…

dsl pour les fautes

**Miyavi Kinoshita** Lun 15 Fév - 17:40

L’odeur se faisait de plus en plus proche, rien que cette idée lui donnait des frissons. Après tout, il n’avait peut-être pas tout laissé tomber tant que ça. Peut-être qu’il se souciait encore de ce qu’il lui arriverait si l’odeur s’avérait être celle d’un humain, sans doute le ramènerait-on dans sa prison, Peut-être même qu’on le tuerait pour s’être échappé et avoir chamboulé les résultats d’expériences de 15 années à force d’avoir été en contact avec des choses non habituelles à son environnement du laboratoire, à avoir manger des choses qu’on ne lui aurait jamais donné s’il était resté, qu’il n’avait jamais eu tout court. Ou bien même que sa fugue avait été totalement orchestrée par les scientifiques et que l’expérience était terminée, qu’ils avaient vu son taux de survie dans la nature, qu’il avait été suivit tout le long de l’expérience par une caméra mise il ne savait où, ou encore une puce qui signalait sa position. Stop. Il devenait totalement parano et fou à lier là. Il devait se calmer. Vite. Et réfléchir. A l’entente des bruits de pas qui se rapprochaient il savait qu’il ne restait que très peu de chances qu’il s’agisse d’un animal. C’était forcement un humain ou un autre hybride. Cette façon de se déplacer il la connaissait par cœur puisqu’il l’entendait en marchant à longueur de journée. Que faire s’il s’agissait d’un scientifique ? Seul face à lui il n’avait sans doute aucune chance de s’en sortir. S’il s’agissait d’un simple humain ? Il n’avait aucune chance non plus, sans ses yeux il ne pouvait pas faire grand-chose, et les humains portaient souvent des armes sur eux. En somme, il ne lui restait plus qu’à espérer qu’on ne le remarque pas. Peine perdue, si les pas venaient en sa direction, c’est qu’on le cherchait lui. Il avait sans doute dû faire trop de bruit quand il était tombé. Il le savait. Il savait que la nuit il ne devait pas bouger. Que c’était dangereux. Mais il avait surpassé cette peur il y a longtemps, jusqu’à ce qu’elle réapparaisse à cet instant.

Il entendait à présent la respiration de l’inconnu(e). La personne n’était plus très loin et semblait s’être arrêtée. Tant mieux, tant qu’elle ne venait pas vers lui il avait le temps de réfléchir, sans doute même celui de se lever et de partir en courant, mais ça, il en était incapable, ses jambes ne répondaient plus aux ordres de son cerveau, son poignet le faisait souffrir et il savait que, s’il devait tenir son poignet avec son bras gauche pour courir, son équilibre serait fortement diminué et il tomberait au premier petit obstacle qui se présenterait devant lui, voir même qu’il s’emmêlerait les pieds. Et s’il tombait, il serait incapable de se relever, mieux valait donc rester assis pour l’instant et aviser selon la suite des évènements. C’était sa seule option. Et puis, n’avait-il pas décidé de laisser tomber ? Non, il ne se fichait pas de ce qu’il pouvait lui arriver, mais il était lassé de toujours chercher à survivre et à lutter contre des choses qu’il ne voyait même pas. Il allait se laisser aller, juste cette fois, peut-être même serait-ce la dernière. Avec un peu de chance il y passerait et il n’aurait plus à lutter de nouveau contre des fantômes. Poussant un petit soupire résigné, il abandonna l’idée de trouver une solution. Qu’on face ce qu’on voulait de lui et puis tant pis, il avait vécu quelques temps heureux mais toutes les bonnes choses ont une fin, et il semblait que la fin de sa liberté était venue, trop tôt à son gout mais c’était comme ça.

L’inconnu(e) était en face de lui, il le sentait. Il pouvait même dire combien il était proche à la sensation de ses pieds près des siens. Il ne bougeait toujours pas, il avait fini par s’habituer à cette présence, et presque même à l’oublier, elle faisait à présent partie de tout ce qui l’entourait, au même titre que la présence des autres animaux. Son état était passé à celui de paniqué quelques minutes au par avant à un état de semi-conscience où il se sentait bien, où la douleur de son poignet n’était presque plus présente, où il n’avait pas peur de ce qui pouvait lui arriver. Il aurait pu rester longtemps comme ça, peut-être même pour toujours, mais la main se posant sur sa tête lui fit un espèce de choc, le faisant soudainement sursauter. Quelques secondes passèrent jusqu’au moment où il comprit totalement ce qui lui arrivait : la personne était un humain, à en juger par la taille de sa main un homme et lui caressait la tête. Dans un réflexe il pencha vivement sa tête sur le côté, avant de la tourner vers la main et de planter ses dents pointues dans celle-ci. Il ne tarda pas à sentir une perle de sang sur ses lèvres, et ce fut seulement à partir de là qu’il lâcha la main. Reculant précipitamment d’un petit mètre en arrière, aidé de sa main gauche, il se retrouva à moitié assis, empêché de tomber allongé sur le dos grâce à sa main, les poils de sa queue et de ses oreilles hérissés, les dents sortit et grognant. Faire ça avait été la chose la plus naturelle qui lui était venu, le sang n’avait fait qu’un tour dans son cerveau et il n’avait même pas eu le temps de s’en rendre compte que c’était fait. Ses oreilles se plaquèrent presque totalement contre sa tête, son grognement toujours aussi menaçant, les poils toujours hérissés, et ses dents montrant qu’au moindre signe de danger il n’hésiterait pas à mordre encore une fois.

(Tu m'excusera pour cette... chose sans aucun sens, courte et merdique, mais j'ai rien réussit à faire de mieux éwè)

**Kumara Kyuusei** Lun 15 Fév - 21:00

(mais non c'est pas merdique , et on doit pas avoir la même définition de court XD) (mon correcteur d'orthographe est mort par je ne sais quel raison je m'excuse des fautes)

Kumara était perdu dans ses souvenirs lorsque le neko le mordu, Kumara reprit vite ses esprits et commença à déguéner son épée énervé il voulut tuer cet hybride pour cet affront. Il s'appreta à abattre son épée sur la tête de ce neko appeurer, lorsqu'il revut l'image de ce neko dans sa cage, ce fut comme un choc pour kumara, il resta bloquer ne pouvant abbaiser son épée. Il ne comprennait pourquoi il ne pouvait pas le tuer, il l'avait fait tellement de fois au par avant. Ses souvenirs revener à l'esprit et se revoyer tenu par la maîtresse qui l'empêcher de voir le neko, tendit que ce dernier était emporter dans une autre salle. La porte se refemant sur son ombre qui disparaiser en même temps que les souvenirs de Kumara, qui revené à lui. Il planta son épée dans le tronc de l'arbre en pousant un cri d'énervement, mais aussi de douleur. Il lècha sa plait et retira son épée de l'arbre et la rangua.

Le neko était lui aussi en colère ses cheveux s'hérissés sur sa tête et ses oreilles se plaquèrent en arriére. Cela énerva encore plus Kumara qui pour une fois avait était charitable avec quelqu'un, il venait de se faire mordre et ce devrait être lui celui qui serait chasser! Kumara voulut frapper denouveau cet éfronter mais il n'y arriver pas.

Kumara s'assit en face du neko en attendant qu'il se calme, kumara réfléchiser, pourquoi ne pouvait il pas le frapper, pourquoi ces souvenirs lui revenait il maintenant, et pourquoi ces derniers étaient il si flou à partir du moment ou la porte de cette salle se refermait sur ce neko. Kumara ne comprenait plus rien, il se sentait vide la seule chose qu'il réusiser à faire c'était tuer et si à cause de cette rencontre il n'y arriver plus! Kumara prit sa tête entre ses deux mains et regarda le neko toujours alonger sur le dos, il apercevait son torse nu, couvert de cicatrices et d'anneaux.

Le crâne de Kumara lui fit soudainement mal, il revoyer anouveau la porte blanche se refermer. Kumara se débatter et essayer de faire en sorte que sa maîtresse d'école lui lâcha la main pour qu'il puise voir ce qui se trouvait derrière cette porte et se qu'il était en train de faire à ce pauvre neko. Lorsqu'un cri retentit derrière la porte.

Kumara sursauta, il se trouvait toujours en face du neko, la respiration de celui-ci c'était calmé tandis que celle de Kumara elle c'était accélérer. Kumara voulait comprendre se qu'il se passait avec ses souvenirs…mais il voulait savoir comme lorsqu'il était petit se qui avait déclancher ce cri… ce cri… c'était le même que celui qui l'avait réveiller cette nuit. Mais pourquoi ses futiles souvenirs l'empêchait il de tuer cet hybride...

Son crâne lui fit mal denouveaux… Il arrivait enfin sortir de l'emprise de cette femme et il se précipiter vers cette porte blanche. La femme essaya de le rattraper lui courrant après laissant la garde des autres enfants a un scientifique. Kumara atteignit la poignet de la porte et la poussa, lanssant devant lui une vission sanglante d'un neko qui se débatait tandis que les scientifiques lui ouvrait le ventre. Kumara resta planter devant cette vision d'horreur avant de vomir son repas lorsque sa maîtresse le rattrapa tandis qu'un des hommes masqué vêtu de blanc reffermer la porte devant cette affreux spectacle… les souvenirs qui lui vinrent à l'esprit furent ceux d'un hopital d'un spy qui essayer de lui faire oublier ses souvenirs avec des techniques tel que l'hypnose…

Kumara maintenant comprenait il avait était traumatisé par cette vision mais maintenant qu'il revoyer ce neko il ne pouvait pas le frapper. Il lui fessait pitier non, c'était de la compation… Kumara voulut retoucher le neko mais retira sa main se doutant que le neko aller le mordre à nouveau.
maintenant qu'il se souvenait de lui il voulait lui faire comprendre qu'il ne voulait pas lui faire du mal. Ne trouvant pas d'idée pour lui faire comprendre, il décida de lui parler, mais ne trouvant pas le mot il resta là à le regarder et tendit sa main vers lui quitte à se faire mordre…

**Miyavi Kinoshita** Sam 20 Fév - 2:04

Ce bruit… Dès qu’il l’entendit, son grognement se tut quelques secondes avant de repartir de plus belle, paniqué rien qu’à se simple son. Un son de métaux se frottant, celui d’un objet tranchant qu’on sortait de sa protection de fer. Il le connaissait par cœur, ainsi que la douleur qui lui parcourait ses entrailles, cette douleur qui suivait ce bruit et la lame de couteau ou du scalpel qui découpait sa chair aussi facilement que si elle découpait du papier. Il s’était même demandé plusieurs fois combien de temps il lui restait avant qu’il ne lui… prélève un bout de chair et s’était toujours étonné que ça ne soit jamais arrivé, après tout ils avaient eu toutes les occasions qu’ils souhaitaient pour le faire. Sans doute n’avaient-ils pas besoin de lui enlever. Cela devait être plus drôle de voir comment il allait réagir à toutes sortes de produits lui aussi, pas seulement que sa chair. Quoi qu’il en soit, il était persuadé que ça les aurait sans doute tout autant amusé de le priver d’un bout de chair et de voir sa réaction. Il sentait l’objet tranchant, qui avait l’air beaucoup plus grand que les «petits» scalpels et couteaux qu’on utilisait sur lui, au vu du son de frottement beaucoup plus long que ce auquel il avait l’habitude. Ses dents devaient sans doute être presque totalement visibles tellement il souhaitait montrer qu’il savait se défendre, même si ça avait plus tendance à démontrer sa peur. Quand il entendit le bruit de la lame fendant l’air il se tut de nouveau, pensant que c’étais sa fin. Mais quand il l’entendit se planter dans l’arbre, le bruit sourd lui fit reprendre ses esprit, regrognant de plus belle. Le bruit de métal se fit à nouveau entendre, mais celui-ci ne lui fit rien : si la lame avait été sortie une fois, elle ne pouvait pas l’être une deuxième, c’est donc qu’elle était rangée.

L’humain en face de lui s’était assis, il l’avait su une fois encore grâce au bruit. Qu’est ce qu’il aurait fait sans ses oreilles… Rien. Il aurait été incapable d’entendre mais aurait gardé ses yeux, ça aurait été, l’inverse, comme actuellement, allait à peu près aussi, mais sans ces deux sens il serait resté sans doute jusqu’à mourir complètement mutilé au fond de cette pièce froide sans personne pour se soucier de son sort. Qui se soucierait du sort d’un simple hybride ? Personne, encore une fois. IL n’avait d’ailleurs jamais compris ce point non plus. Pourquoi, simplement parce que croisés avec un animal, devraient-ils subir toutes sortes d’expériences ? Ca remontait sans doutes à leur origines, il ne savait pas comment ces êtres, au départ humains, s’étaient retrouvés avec une queue et des oreilles de chats. Peut-être avaient-ils été crées de la main de l’homme et donc que ceux-ci avaient pris tous les pouvoirs sur leurs créations…

Au fur et à mesure que le calme revenait, il s’emparait de lui aussi. Les «pointes» de ses grognements, juste après qu’il ai repris sa respiration, se faisaient de plus en plus faibles et espacées. Au point où il arrêta de grogner et que ses dents furent de nouveau cachées par ses lèvres. Ses oreilles, elles, étaient toujours plaquées, les poils de celles-ci et de sa queue hérissés. Calme, légèrement détendu, mais toujours aussi attentif. C’est pour ça que, quand l’humain sursauta, il se remit à grogner de plus belle, encore plus sur ses gardes après qu’il l’ait surpris. Il avait beau être resté attentif, il ne pouvait pas prévoir quand quelqu’un allait sursauter, et ce simple geste banal venait de lui faire comprendre qu’en fait, il ne pouvait rien prévoir du tout. Si l’humain décidait de se jeter là, maintenant sur lui pour le tuer il serait totalement vulnérable et pris au dépourvu. Cette pensée le fit se reculer un peu plus, de ce que sa main lui permit, un petit mètre avant de laisser tomber et de finalement s’asseoir lui aussi. Il était resté en appuis sur sons bras tout ce temps, sans jamais se poser, alors celui-ci commençait à devenir engourdit par son poids, bien que assez léger, il n’était extrêmement musclé non plus, donc il se fatiguait vite.

C’est assis qu’il attendit une réaction de l’homme. Ces périodes de calmes où il ne se passait rien l’inquiétaient, il avait l’impression que ça n’annonçait que quelque chose de plus dangereux encore pour lui, mais il n’avait d’autre choix que d’attendre. Il ne grognait à présent plus. Il aurait bien pris ses jambes à son coup, mais il en était incapable. Il n’aurait pas couru assez vite et assez bien pour distancer l’humain, et si celui-ci venait à le rattraper après l’avoir poursuivit, s’il en avait l’intention, et qu’il n’appréciait pas le fait qu’il ai tenté de se sauver, il risquait de passer un sal quart d’heure… Il ne grognait à présent plus, et ses oreilles s’étaient redressées normalement, ses poils raplatis. Ses signes de colères ne réapparurent pas non plus quand l’humain bougea. Il le sentit approcher puis s’éloigner, avant de rapprocher de nouveau. Pourquoi hésitait-il ? Il n’en savait rien, mais s’il commençait à douter, alors ça devait certainement être une bonne chose pour lui. Sa main s’arrêta près de sa tête, il la sentait tout près, c’était limite si elle ne l’effleurait pas. S’il devenait confus, c’était peut-être le moment de chercher comment partir sans être dans un pire état que celui là, il devait déjà être assez pitoyable comme ça, pas la peine d’en rajouter. Il était sale, et aller prendre une douche à la rivière n’était pas de refus, et ce le plus rapidement possible avant que la boue ne colle trop à sa peau et à ses vêtements et qu’il soit obligé de forcer sur son poignet. Pour ce dernier, il verrait plus tard, ça se soignerait sans doute seul s’il ne s’en servait pas. Il alla placer sa tête en dessous de la main de l’humain, voulant savoir quelle réaction il aurait. Il jouait quitte ou double : soit il l’attraperait et se vengerait en le tuant ou le ramenant au laboratoire, ou alors il serait peut-être assez généreux pour le laisser partir. Aucun n’autre échappatoire n’était possible. Et dans le cas où il avait l’intention de se venger, ce geste de la part de Shui’ l’apaiserait peut-être un peu, il montrait sa soumission en un sens donc il serait peut-être plus gentil… Il y avait beaucoup de peut-être et de choses inconnues dans ses propos, voila à quoi il en était réduit. Après tout, il avait l’habitude, il n’avait jamais eu le contrôle de rien dans sa vie à part ses dernières semaines.

C’était plus fort que lui, il devait savoir. Rester dans l’inconnu lui faisait peur. Tout ce noir autour de lui lui faisait peur. Il se décida à parler, il devait au moins savoir si l’homme était là pour le ramener au laboratoire ou s’il n’avait aucun but précis à propos de lui. Sans doute lui expliquerait-il même un peu plus de chose sur sa présence ici. De toute façon, il se doutait que s’il n’était pas là pour le faire rentrer, c’est qu’il avait été attiré par les cris qu’il avait poussés tout à l’heure. Il avait beau savoir comprendre et parler le langage des humains, ce n’était pas souvent qu’il l’avait utilisé. La seule façon dont il continuait de savoir correctement l’utiliser était quand il pensait, ça devait faire des semaines qu’il n’avait pas prononcé autre chose que des légères onomatopées ou des gémissements, et tout à l’heure il s’était tenté au cri. C’est donc naturellement d’une voix assez hésitante et cherchant légèrement les mots à employer qu’il prit la parole.

"Vous… êtes là pour me ramener au laboratoire c’est ça ?..."

Il avait d’abord pensé à le tutoyer mais s’était ravisé, il ne le connaissait pas, il était humain, donc dans son éducation il devait le respecter. Il releva la tête vers l’homme, comme s’il avait levé les yeux vers lui, à la seule différence qu’il ne le voyait pas, laissant la main de l’humain sur sa tête frotter contre ses cheveux. C’était demandé, il n’avait plus qu’à attendre, espérant une réponse négative.

**Kumara Kyuusei** Dim 7 Mar - 23:01

Kumara, attendait il avait toujours la main tendu devant lui, près du vissage du neko, il se disait que sa marcher comme avec les chats qu’il faut se faire sentir pour que l’animal s’approprie notre odeur pour qu’il se souvienne que se soit en mal ou en bien. Mais le souvenir importer peu se qu’il voulait c’est que l’hybride se calme et s’habitue a sa présence. Kumara ne pouvant le tuer il préférer l’aider.
C’est alors que le neko passa sa tête sous la main de Kumara qui sursauta un peu, homme aux oreilles de chat, avait l’air quelque peu contraint peut être espérer t il que cela calmerai la colère passagère de Kumara. Ce dernier passa sa main sur la chevelure argentée de l’homme qui se trouvait en face de lui. Il y avait une certaine douceur dans ses gestes, Kumara s’étonnait lui même, cela fessait longtemps qu’il n’avait pas était doux avec quelqu’un a par avec lui-même. C’était le Kumara d’autre fois qui bougé à sa place, c’était l’enfant et non homme qui guidé ses membres. Le blessé le regarder, ou plutôt semblé le regarder. D’ailleurs Kumara était incapable de dire s’il était aveugle ou bien s’il avait seulement un bandeau sui l’empêcher de voir mais cela n’était gère important.
L’hybride commencer à bouger ses lèvres sans en faire sortir un son, comme s’il cherché à trouver les mots qu’il allé adresser à Kumara. Kumara se demander se qu’il aller lui dire s’il parlait sa langue ou s’il attendait juste de le mordre. C’est alors que le neko prit la parole d’une voix hésitante il dit :

"Vous… êtes là pour me ramener au laboratoire c’est ça ?..."

Il avait du le prendre pour un scientifique ou pour un autre de ces fous qu’il n’aimer gère.

« Non ! Jamais…Jamais plus tu n’y retourneras. Plus jamais on ne te fera subir ça. Pas tan que je… »

Ses mots étaient sortit tout seuls de la bouche de Kumara c’était encore l’enfant qui avait agit à sa place, et quand il se rendit compte de se qu’il disait il se tut…
Il se releva, et se frotta le vissage, après se qu’il avait dit, il retrouvait complètement troublé rien qu’à voir se neko, il préférer partir que de refaire ou redire se genre de phrase sortit de shojo. Kumara commença à partir, se disant que c’était mieux pour le neko il serait rassurer, mais surtout mieux pour lui. Il commença a partir en espérant que ses mals de crâne aller partir.
Il était maintenant revenue à la rivière il y plongea la tête pour faire passer sa migraine mais aussi pour oublier se neko, mais son vissage rester dans la tête de Kumara, Il ne comprenait pas pourquoi il était si attacher à cet animal qui ne devait même pas être celui qu’il avait vu dans son enfance, mais pourtant, il avait comme un problème avec ce neko il ne pouvait rien faire contre lui, et cela l’irrité quelque peu. Kumara sortit sa tête de l’eau y laissant son mal de tête mais gardant toujours l’image du neko comme conserver par le froid de cette eau gelée.
Kumara se mit debout et fit demi-tour se dissent que s’il révéré le neko sur son chemin ou devant l’arbre il l’aiderai, et que s’il ne le voyer pas il l’effacera de sa mémoire pour de bon…

(désoler c'est court et surtout désolé pour le retard j'avais plus le temps d'aller sur l'ordi et j'ai était dégoûter par les forums pendant un certain moments car je me suis fait rejeter ma fiche de présentation à cause de mes fautes d'orthographes (sujet sensible chez moi) alors j'était un peu dégoûter, mais bon)

**Miyavi Kinoshita** Dim 14 Mar - 17:54

L’humain s’en allait… Quelque part ça l’embêtait autant que ça le rassurait… Sa présence le rassurait autant qu’elle l’effrayait… L’homme avait tenté de le tuer avant de lui dire qu’il ne lui arriverait rien tant qu’il serait là. Le neko était totalement perdu mais il savait une chose à propos de l’humain. Il était imprévisible. Et les gens imprévisibles étaient les plus dangereux. Mieux valait s’en tenir le plus éloigné possible. Mais, il l’intriguait… D’une façon qu’il n’avait jamais connu, presque incontrôlable. Même le danger et la peur ne l’empêchaient pas. Et puis, il n’avait pas envie de se contrôler. Toutes ces contradictions dans ses paroles et ses gestes… Dire vouloir protéger quelqu’un, ou du moins le laisser sous entendre, en essayant de le tuer… Et en arrêtant en se rendant compte de ce qu’on disait… C’était franchement… étrange ? Mais cela avait suffit à attiser sa curiosité. D’ailleurs, elle ne faisait qu’augmenter depuis qu’il était libre. Autrefois, il se contentait d’attendre que le temps passe sans chercher à changer quoi que ce soit. Puis, elle avait augmenté, jusqu’à ce qu’il s’en aille de lui-même pour tenter une meilleure vie dehors, ‘voir’ comment était la vie dehors… Et maintenant, il était attiré par tout ce qui bougeait, il était toujours intrigué par à peu près tout, approchait tout, mais restait dans la limite de la sécurité. Jusqu’à il y a quelques minutes. Le neko s’était franchement mis en danger, et il avait pris conscience que finalement, il s’en foutait. Il avait eu ce qu’il voulait, il avait été libre et heureux, alors il pourrait lui arriver n’importe quoi, même au point d’en mourir, qu’il mourrait heureux. Si sa vie sauvage pouvait continuer il ne dirait pas non, il serait même pour qu’elle dure le plus longtemps possible, mais sinon tant pis. Après tout, il ne pouvait pas tout avoir. Il avait connu l’enfermement, l’isolement, la liberté et le bonheur. Il ne voyait pas tellement ce qu’il pouvait souhaiter connaître en plus ce ça.

La notion de temps toujours extrêmement vague dans son esprit, il ne savait pas depuis combien de temps l’humain était partit et donc qu’il était resté planté là, assis pour de bon cette fois, le dos courbé et la tête basse. Sa tête commençait à tourner de plus en plus, accompagnant la douleur dans son poignet qui s’agrandissait elle aussi. Il sentait entre ses doigts que ledit poignet avait un peu gonflé, tout du moins assez pour qu’il ne puisse plus faire toucher le bout de ses griffes en l’enserrant. Elle tournait, si bien qu’il fut obligé de lutter pour ne pas se laisser tomber sur le côté et rester là jusqu'à perdre conscience. Faisant un effort incroyable pour se relever, il toussa en crachant un peu de sang qui finit par couler le long de son menton et gouter à la fin de celui-ci. Tanguant un peu dans tous les sens au début, il finit par arriver à tenir à peu près droit, si la droitesse pouvait se traduire par être penché en avant. Ses premiers pas furent laborieux, il manqua de tomber pas mal de fois, mais il resta, miraculeusement, debout et continuait d’avancer. Il s’était relevé juste pour ne pas sombrer, et avançait juste pour ne pas s’être levé pour rien et ne pas rester planter sur place, mais il ne savait pas où il allait, et ne faisait pas attention à ce qu’il se trouvait autour de lui. Il se contentait d’avancer droit puis de contourner les arbres ou un autre obstacle quelconque qu’il se prenait.

Son poignet le faisait de plus en plus souffrir, sans doute avait-il grossi encore plus depuis qu’il avait constaté qu’il ne pouvait plus faire le tour. Prenant une petite pose bien méritée, il s’adossa contre le premier arbre qui lui rentra dedans, restant debout pour ne pas avoir à se relever, sachant pertinemment que de toute façon il n’y arriverait pas et il porta son poignet devant sa bouche, l’autre main toujours dessus pour le soutenir et éviter qu’il bouge. Il passa doucement sa langue dessus. Il savait que ça n’arrangerait rien mais ça le détendait. Les premières fois qu’il l’avait léché il avait découvert le goût de la boue. Répugnant. Il s’était d’ailleurs retenu comme il avait pu son maigre déjeuné. Il n’avait plus grand-chose dans le ventre, et si c’était arrivé cela aurait sans doute été plus de sang qu’il aurait régurgité et non pas de la nourriture. Ce passage lui avait aussi rappelé qu’il était encore couvert de boue à présent sèche, et qu’il serait bien qu’il se lave un peu. Même s’il n’avait pas tout à fait la tête à se soucier de la propreté de sa peau, c’était à vrai dire le dernier de ses soucis, il se décida à bouger et aller se laver. Il avait besoin de s’occuper pour oublier, le temps que ça s’arrange, sa douleur et sa fatigue, ainsi que la faim qui se hissait petit à petit dans son ventre, c’est que, la boue, c’est pas très nutritif... Contractant ses muscles pour réunir la force nécessaire à la tâche à accomplir, soit se décoller de l’arbre en poussant sur son dos, il reprit son poignet en main.

Il se remit à marcher, cette fois faisant un peu plus attention à ce qui se trouvait autour de lui et cherchant à éviter les obstacles. Son nez lui fut qu’une assez bonne utilité pour retrouver le chemin de la rivière, l’odeur du poisson qu’il avait fait grillé avant de s’endormir il y a déjà pas mal d’heures était encore légèrement présente et lui servait énormément. Il était pour le moment incapable de se repérer. Malheureusement, il n’arriva pas à la rivière. Une racine, diabolique comme toutes ses sœurs, le fit trébucher et tomber. Il se releva, sans doute trop vite. Sa tête tournait encore, le sol semblait bouger. Il retomba une nouvelle fois, mais cette fois ci il ne s’en releva plus.

**Kumara Kyuusei** Dim 14 Mar - 23:26

Kumara, marché d’un pas hésitant, il s’étonné lui même, donner une si grande importance à une personne qu’il n’avait vu qu’une fois ou deux tout au plus, cela ne lui ressemblé pas. Avait-il était traumatisé, cela lui semblait peu probable, mais cela expliquerai certain de ses gestes, et le fait qu’il revienne sur ses pas en ce moment même pour revoir cette animal humain. Par qu’elle folie il continué de chercher l’homme à la chevelure blanche ? Il se le demander, encore et encore mais aucune réponses…

La nuit était maintenant presque finit et le soleil commencer à paraître laissant s’échapper quelque rayons lumineux. Kumara devait se dépêcher il avait des choses importante à régler le lendemain. Mais il voulait revoir le neko, encore. Kumara était maintenant arrivé devant l’arbre, le lieu de leur rencontre, l’endroit était poutant banale, mais il avait maintenant son importance, cet arbre, ce trône qui avait servit à ce neko de siège royale pendant leur rencontre. Kumara sourie, pourtant triste, il prit place dans ce trône de bois, souffla, et repartit. Il avait faim, il pouvait profiter de sa sortit pour se trouver de quoi assouvir sa soif, ce dit-il, de plus cela l’aiderai à oublier.

Il se releva, prit une grande inspiration essuya ses vêtements qui avait prit quelques taches de boue, Kumara regarda son manteau de plus prés et s’aperçu, qu’une tache rouge s’y trouvé. Kumara n’avait pourtant pas sentit l’odeur délicate du sang, celle-ci camoufler par celle de la boue. Il lécha son manteau au niveau de la marque sanglante, et sourie. Le sang de cet animal était exquis, bien qu’un peu couvert de boue.

Kumara était a nouveau à la recherche de l’animal mais cette fois, il ne voulais ni sa vie ni sa mort, juste l’aider mais aussi en profiter. - Il voulait son sang. – Un étrange lien le relier a cet homme aux cheveux blanc, le destin voulait il les réunir, que Kumara le tu ou bien cela était simplement le fruit du hasard. Kumara remarquer maintenant les marques de sang qui se trouvait au sol pas très loin de l’arbre, elles n’étaient pas là auparavant. Ce neko c’était il encore blessé. Kumara suivait l’odeur qui se fessait de plus en plus forte et douce à ses narines.

Kumara suivait l’odeur, qui lui fessait à nouveau venir vers la rivière. Mais il n’ut pas à marché très longtemps. Il aperçu dans un rayon de lumière le neko allongé au sol, comme inerte, un oiseau lui picorant la tête, il semblait mort. Ces vêtements recouverts de boue sèche, les jambes couvertes de blessures, et son poignet blessé et enflé. Kumara se rapprocha du neko, lui caressant la tête pour voir s’il réagissait. - Il ne bougé pas. –

Kumara ne voulait pas sa mort, s’il mourait il ne pourrait profiter de son sang qu’une seul fois se disait il. Mais cette raison n’était pas la seule et il le savait bien qu’il ne voulait l’admettre. Kumara prit le neko dans ses bras évitant de toucher son poignet et les autres parties de son corps blessé. IL l’emmena près de la rivière. Il retira son gant et trempa sa main dans l’eau pour mouiller, le front du neko, il ne réagissait toujours pas cela affolé Kumara qui serra le neko contre lui, il reprit son calme et lava les plaies de l’homme ainsi que ces vêtements. Ce dernier était toujours inconscient, mais Kumara sentait sa respiration plus régulière. Il ne savait pas vraiment ce que cela voulait dire mais il se sentit quelque peu rassurer.

Il rammena l’homme aux oreilles de chat dans la maison abandonnée, où il habité, heureusement celle-ci n’était pas très loin de la rivière. S’occupa de soigner les plaie de l’endormi, il finit par les bander avant de s’endormir sur le bord de son lit où il avait installer le neko.

je propose de continuer le post dans la maison de Kumara ^^
(encore désolé c'est plus que cours et c'est vraiment nul -_____-' )

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