Miya'. K.

Nom :Kinoshita

Prénom :Miyavi

Surnom: Miya’

Age : 17 ans

Clan :Seme no Shi

Race :Neko

Arme(s) :Ses dents et ses griffes

Métier :…

Pouvoirs :

Majeur : Ayant des gênes de chat, il est capable de se transformer en boule de poil sur patte.

Mineur : Un odorat surdéveloppé, dû à pas mal de choses : ses origines, les expériences et son absence de vision.

Héréditaire : Aucun, puisqu’il n’a pas de famille.

Caractère : Miya’ est assez… particulier au niveau de son caractère. Avec lui, c’est la nuit et le jour. Face aux humains, il montrera, la faisant surtout comprendre sans le dire réellement par peur des coups, une haine tenace et ce sûrement jusqu’à sa mort pour tous les humains qui ne sont pas de sa race, même ceux qu’il voit pour la première fois et qui ne lui ont rien fait, étant, de ce fait, particulièrement rancunier. Mais il se soumettra toujours face à eux et fera ce qu’ils lui diront, ils avaient su lui montrer à quel point ils étaient puissant, cruels et maîtrisaient l’art de faire souffrir les gens (sans raison d’après lui), et ce aussi bien physiquement que mentalement. Et puis, la rébellion, il avait déjà testé, et il n’était pas près de recommencer, traumatisé par les conséquences que cela avait eues. Mature pour son âge, il a appris à se taire quand on ne lui demandait pas de parler. C’est d’ailleurs les seules fois où il parle, même seul il ne dit rien, mais il lui arrive parfois de fredonner, des airs de chansons connues de lui seul, presque souvent inexistantes. Même si il a passé toute sa vie en cage, il comprend et sait parler le langage des humains, mais ne sait pas écrire. Pas idiot pour autant, il sait qu’il y a quelques personnes qu’il y a quelques personnes humaines qu’il peut (malencontreusement, bien entendu…) mordre, griffer, ou même se rebeller contre sans qu’ion ne lui des rien, et il en profite dès qu’il peu, mais extrêmement prudent, si il venait à se faire prendre, il ne donnait pas cher de sa peau, et finirait sûrement disséquer vivant. Il n’a jamais rencontré autre chose que des humains dans sa vie, mais à écouter les scientifiques, il avait appris qu’il existait d’autres êtres comme lui, ou encore des créatures nommées animaux, et même sans les connaître, il savait qu’il n’aurait aucune haine contre eux, et qu’ils n’étaient pas cruels comme les scientifiques.

Description Physique : Miya’ possède une peau assez pâle à cause de l’absence de la lumière du soleil depuis qu’il est en vie, ce qui la rend assez fragile. Il a des cheveux blancs aux reflets bleus mi-longs qui sont souvent en bataille, bien que coiffés, avec quelques mèches devant ce qui devrait être ses yeux. Ses oreilles sont de la même couleur que ses cheveux, avec les pointes légèrement bleutées, mais il faut vraiment bien regarder pour le voir. Sa queue est dans le même genre, pendante, elle lui arrive au milieu de mollets, blanche elle aussi, le bout comme celui de ses oreilles. Ce qui devrait être ces yeux, oui, car à la place trône un bandeau noir assez épais pour ne pas laisser passer la lumière. A l’origine, ses yeux étaient rouges, mais il n’aura pas eu le temps d’en profiter énormément, puisque maintenant il n’e reste pas grand-chose, que du vide, fermé par un pansement par œil et en bandeau par-dessus. Il est donc aveugle, ce qui explique en partie un odorat extrêmement développé. Bien que maigre, il a de légers abdos à peine dessinés mais se laissant deviner, tout comme deux ou trois côtes un peu visibles. Une énorme cicatrice en forme de croix, allant de la moitié de sa poitrine, jusqu’au niveau du nombril. Deux gros anneaux de métal sont implantés dans sa peau aux extrémités de la cicatrice, ainsi qu’un sur chaque téton. Il possède aussi un tatouage au bas de son dos en forme de code barre, avec un numéro en dessous, complété au fur et à mesure des expériences, faisant déjà une bonne dizaine de centimètres de large. Il a des mains avec des doigts fins et assez longs, aux ongles longs et pointus, qu’on lui peint de temps en temps avec du bleu, du vert ou du noir quand on s’ennui. Ses jambes sont aussi fines, longues, mais pas trop, d’un taille dans la moyenne de son âge en somme. Il mesure à peu près 1 mètre 65. Niveau vêtements, il met ce qu’on veut bien lui donner, soit pas grand-chose. Il a souvent sur le dos un... t-shirt noir, si on peut appeler ça comme ça, en cuir, ne cachant pas plus que ses bras, le haut de son dos et son cou, fait de bondages, le reste du haut de son corps à l’air libre. Comme pantalon, un espèce de pantalon qui ne lui arrive pas plus bas (pour les plus grands morceaux) que ses genoux, en lambeaux à partir du milieu de ses cuisses, en cuir et noir lui aussi. Il n’a jamais eu l’occasion de mettre des chaussures, ni même des chaussettes, de ce fait il est toujours pieds-nus, et ça ne le gêne pas plus que ça.

Histoire

Un 16 novembre, il y a de cela 17 ans, dans un laboratoire situé dans un village au Japon, des pleurs retentirent dans une des salles immaculées, où trônait au milieu une table en fer, froide et grise, et sur les côtés, tout ce qu’on pouvait trouver dans une salle d’opération. Des hommes en blouses étaient rassemblés autour d’une table, où était allongée un jeune femme, d’à peine vingt ans, qui donnait vie à un enfant, que certains avaient qualifié d’albinos, un petit garçon aux cheveux blancs, possédants des membres de chat. Cela aurait pu être une scène magnifique, d’une mère donnant la vie à l’enfant qu’elle avait attendue pendant neuf mois. Ca aurait pu, mais ce n’était pas le cas. Une fois l’enfant sortit du ventre de la femme qui l’avait gardé en elle, et qu’il fût capable de respirer seul, du sang gicla de la gorge de la femme, le rouge contrastant fortement avec le blanc de la salle, accompagné d’un cri, puis d’un silence pesant. Un des hommes en blouse, un scientifique, venait de trancher la gorge de la femme, elle ne leur servait plus à rien à présent, elle leur avait déjà donné ce qu’ils voulaient : l’enfant. Crée par manipulations génétiques, puis implanté dans la femme, qui servait donc de mère porteuse, il avait été entièrement crée scientifiquement, il n’était pas naturel.

Il passa ses premières semaines en couveuse, maintenu en vie difficilement, assez fragile physiquement, privé de la chaleur et du lait maternel, il avait failli mourir à plusieurs reprises, mais il avait survécu. Il fut élevé par les scientifiques comme tout enfant. A ses deux ans, les expériences pouvaient commencées. La première, qui n’était pas exactement une expérience mais marquait le coup d’envoi pour toutes celles qui allaient suivre, fût faite le jour de l’anniversaire de ses deux ans, son caryotype fut fait, pour comparer celui de « l’hybride » comme le disaient les hommes en blanc à celui d’un humain. On lui apprit les choses de base : savoir parler, marcher, s’habiller, avec un minimum d’hygiène. Il grandit dans une salle aux murs gris et au sol carrelé froid, dans le noir, avec juste une grande porte en fer se fondant dans le mur, verrouillée par plusieurs verrous et ne s’ouvrant que de l’extérieur. La pièce comprenait juste une douche, un lit, des toilettes et un bureau, le strict minimum en somme. Ses repas lui étaient apportés tous les soirs, en fonction de son obéissance du jour la ration était plus ou moins grande.

Il continua de grandir, subissant diverses expériences, sur la réaction à certains produits de sa peau, le temps de guérison de son corps face aux coupures, brûlures, les allégies possibles… Bref, des expériences de toutes sortes. Le temps continua de passer, vint rapidement l’année de ses douze ans. Pour tester sa résistance, il fut enfermé dans une pièce qui ressemblait à sa chambre, froide, mais surtout vide, tous les meubles étaient enlevés. On ne lui apportait rien, ni eau, ni nourriture, mais était surveillé en permanence. Au final, il tenu presque une semaine avant de tomber d’un coup, alertant le scientifique de garde qui prévint les autres. Il fut soigné de justesse, et mit quelques temps à s’en remettre.

Pendant ce temps, sa haine grandissait, et à ses 14 ans, il la laissa enfin s’exprimer. Pendant un des innombrables expériences, il se rebella, et attaqua presque mortellement un des hommes en train de lui ouvrir le bras à vif, quelque chose qui avait à voir sur la résistance à la douleur ou quelque chose de ce genre là… Il fut arrêté par le chef de l’équipe, celui qu’il redoutait le plus. L’homme le sangla à la table, juste les jambes et les bras, pour l’empêcher de bouger. Il laissa un autre scientifique s’occuper de lui. Il avait beau se débattre, crier, pleurer, personne ne l’écoutait, et tous le regardait en train de se faire déshabiller, mais il y échappa de justesse. Le chef avait soudain arrêté l’autre, et avait déclaré qu’il devait rester pur pour ne pas faussé les résultats.

Quelques jours après cet épisode, il fut ramené dans la salle, et de nouveau sanglé à la table, mais cette fois ci entièrement, jusqu’à ce qu’il ne puisse plus bouger le petit doigt. Il ne se rappelait plus exactement de la suite, il avait perdu connaissance avant, la seule chose dont il se souvenait, c’est qu’il s’était fait autopsié vivant, d’où l’énorme cicatrice sur son ventre, pour que les humains puissent juger si il avait une quelconque différence entre les organes humains et ceux hybrides, leur dispositions, leur taille… A chaque point de différence fut placé un anneau, et il s’avéra que les différences étaient alignées et formaient une espèce de rectangle, ils n’avaient jamais réussis à comprendre pourquoi. Il s’était aussi réveillé aveugle, les yeux arrachés, ceci étant sensé le déstabiliser et lui empêcher toute résistance.

Trois ans plus tard, il continuait toujours de servir de cobaye pour tout et n’importe quoi. Et ce, jusqu’il y a deux jours. Il avait profité de l’inattention de sa « nounou », un homme des bureaux qui lui apportait à manger pendant les vacances ou les jours de congés des scientifiques, qui avait laissé la porte déverrouillée. Il en avait profité pour fuir, dans sa tenue de cuir, les pieds nus, et avait couru, aussi loin qu’il pouvait, il avait traversé une forêt, quelques routes, et semblait être quelque part, dans un endroit calme. Miya’ y avait passé la nuit et était repartit à l’aveuglette, mais sans tomber, ne se prendre un arbre ou autre en pleine tête, il avait appris à sentir la présence des objets autour de lui, et arrivait à les éviter.

Code : Bon

Ca va être long à valider toutes les futures fiches si faut l'accord de tout le monde ._.